Petit repas

J'arrivais tranquillement dans la cantine bourrée de monde, Jasper serra sa main dans la mienne et me lança un regard de peur mélangé de passion et d'amour. Ah, mon Jasper! Je lui lança un sourire remplit de folie douce. Je sentais les regards de ces humains, se poser sur nos mains enlacées, sur mes cheveux ébouriffés. Sur ma tenue que j'aimais tant porter. Un veston en jean sur un petit chemisier blanc, un pantalon droit et noir et des escarpins noirs. Je m'assis à notre table, Rosalie et Emmett y étais déjà installés. Je lançais des regards autour de moi, je croisa le regard de cette nouvelle. *Cette fille qui avait fait un tel bruit dans le lycée pour son arrivée que je ne pouvais pas être passé à côté de ça! Moi aussi je l'attendais, j'avais eu une vision où elle était apparue avec Edward, ils étaient heureux et amoureux. Est-ce-que ça allait réellement se passé comme ça?* Jasper me sorti de mes pensées par une petite caresse sur mon bras. Je lui parlais quand je sentis une main se posé sur mon épaule.

Sa faisait seulement une journée que j'était ici et je devais déjà affronté mon nouveau lycée, Charlie mon père avait du faire courir le bruit que je revenais à Forks. Cette nuis la je n'avais pas beaucoup dormis, le bruit de la plui sur le toi de la maison de Charlie m'avait empecher de trouvé le calme necessaire à mon someil. Ce matin quand je regardais par la fenetre le ciel était d'un gris très foncé, à croire qu'on ne voyait le jour ici. Je m'était habiller puis avait pris un petit déjeuner très léger. J'avais l'éstomac noué. Je sortis enfin de la maison et pris ma chevrolet pour me rendre au petit lycée de Forks. Je n'avais pas réussis à me fondre dans un lycée qui comptait 3000 élèves alors comment allais je faire pour parraitre inapercu dans un lycée qui comptait 331 élèves, enfin 332 maintenant. Après être passé par le secretariat, j'avais trouvé le salle de mon premier cour sans problème. A la fin du cour je fis la connaissance de Mike, un garçon très sympathique puis de Jessica qui avait pris sa place à côté de moi en Anglais. Heureusement je n'avais pas besoin de beaucoup parlé, elle faisait elle même les questions et les reponses. Et enfin vint l'heure du déjeuné. Après avoir pris nos plateau, Jessica et moi nous instalames à une table déjà bondé, elle me présenta ces amis, mais j'oublais leur prénom au file des personnes qu'elle me presentait. Je soupirais puis je leva les yeux puis faire un tour du refectoire. La mes yeux ce possèrent sur une table assez isolé ou était assis 5 personnes. Ils étaient aussi beau les uns que les autres, il y a une magnifique jeune femme blonde, assez grande, puis à côté d'elle un homme baraqué et brun, puis une autre femme beaucoup plus petite aux airs de lutin avec les chéveux noir et ébouriffé, puis cet homme qui devait être son compagnon vu qu'il lui tenait la main, un homme blond à l'air un peu torturé mais toujours aussi beau puis le dernier grand, au cheveux cuivré. Je ne serais dire le quel était le plus beau, la blonde ou le garçon au cheveu de cuivre. Ils ne me fixaient pas comme tout les autres heureusement, je pouvais continué mon admiration. Mais je croisa le regard de la plus petite des femmes, je detourna les yeux et Jessica qui avait suivi mon regard m'expliqua qui il était.

Je me retourna vivement, avec ma rapidité que m'avait offerte ma transformation. Cette main appartenait à mon frère, Edward. Il me ragardait bizarrement en lançant de temps à autre un coup d'œil affamé. Il l'a regardait elle. *C'est vrai qu'elle sentait bon, mais tout de même, il n'allait pas craquer? Pas maintenant? Je ne l'avais pas vu dans une de mes visions, ça n'allait pas se produire tout de même?* Je repoussa cette pomme couleur sang qui trônait sur mon plateau, regarda Rose qui était perdue dans ses pensées et me rendit compte qu'Edward n'était plus là. Jasper me donna un coup de coude et me dit rapidement qu'il allait en cours. Je lui sourit et me leva, pris mon plateau et de ma démarche rapide je me débarrassa de celui-ci, et me dirigea vers la sortie. J'essayai de ne pas respirer, de ne pas sentir cette odeur qui avait pris le dessus dans la cantine, cette odeur qui m'ouvrait l'appétit.... *Non! Alice reprends toi! Tu dois te contenir, Jasper devait surement être en train de me calmer car je sentais des vagues de douceur déferler en moi.* Je sorti le plus rapidement possible du réfectoire et me dirigea vers mon cours de maths suivi d'Emmett. Nous décidions d'abord de sortir rapidement et de chasser un petit coup, de revenir à la maison, de se changer et de repartir au lycée, puis d'aller en cours. Tout ça en 10minutes.

Un évènement de plus dans leur petites vies humaines: la fille du Shérif Swan était sur le point d'emmenager à Forks.

Elle occupait l'esprit, les pensées et les discussions de chaques personnes du lycée.
Ou que j'aille, je voyais l'image qu'ils se faisaient d'elle. Que je sois dans le parking, dans le gymnase, dans la cour ou en cours, elle était l'interêt général.

Il leur en fallait vraiment peu pour se divertir!

Tandis que les garçons pensaient seulement à elle sur le point de vue physique et se voyaient déjà amoureux, main dans la main avec la fille unique du Shérif, les filles la jalousaient... Même Jessica Stanley.
Alors que celle ci n'avait eu que de pensées pour moi pendant ces derniers mois. Pas que cela me flattait ou m'interessait au contraire, s'était vraiment agaçant de se voir à travers les yeux de ce genre de fille...

Quoi qu'il en soit, elle était n'importe ou. Isabella Swan.

Je décidais alors de venir tenir compagnie à ma famille, une fois que je fus sortit de ma Volvo grise, en attendant l'arrivée de cette humaine. J'avais pour habitude de ne pas faire attention à leur pensées. Pas par dégout comme je le faisais avec Jessica, mais par courtoisie. Ils avaient droit à leur intimité et de toute façon se focalisaient souvent sur la même chose et cela devenait ennuyeux... Comme le reste de ma vie... Non, de mon existence, je ne peux pas vraiment utiliser le mot vie. En ce qui me concernait, ma vie était déjà finie...

Puis, elle arriva dans la cantine. Jusque là, elle avait apparament corrigé chaque personne sur son prénom. "Pas Isabella, Bella." Alors, ce changement opéra dans tous les esprits.

Comment me faire une idée d'elle avec tous ces humains qui pensaient à leur Messie?!

Je croisa les bras, ne touchant pas à la nourriture humaine, et regarda Alice qui avait les yeux posé sur la jeune fille avant de faire la même chose. Je ne pu voir que son dos. Ses cheveux étaient chatain foncé, légèrement ondulés, et descendaient jusqu'au bas de celui ci.

Alors, j'entendis mon nom dans une des pensée et me tourna instinctivement vers l'endroit d'où elle provenait... Alice.
Elle ne m'avait pas parlé de cette vision... Moi et... Une humaine?... Heureux et amoureux?... Comment cela allait il arrivé?... Biensur je ne me nourrissais pas d'humain depuis vraiment longtemps maintenant mais je ne m'approchais pas plus que ça d'eux non plus... Cette vision fit que je me tourne mécaniquement vers Bella Swan à nouveau. Celle ci venait de croiser le regard d'Alice et de détourner les yeux tout aussi rapidement. Je pu tout de même entrevoir deux grands yeux chocolat avant que Jessica ne commence à lui parler de nous
Je me concentra sur elle. A quoi pensait elle en ce moment?...

(...)

Rien?... Rien du tout... Comme si Jessica parlait à une personne qui n'existait pas... Je n'avais jamais fait cette expérience là... Etais-je malade?... Non, je me sentais comme d'habitude...
Alors je me concentrais d'avantage, plus fort, débloquant toutes pensées d'autres personnes et entendit un flot de banalité.
Je me tourna une seconde fois et observa la fille du Shérif... Sa peau était vraiment pale pour quelqu'un qui venait de Phénix... Presque translucide... On pouvait voir chaque veines sur sa nuque qui palpitaient et... Mais je ne devais pas me concentrer sur ça!
Je détourna les yeux pour mieux retourner dans mon monde...

Puis, mon pouvoir se focalisa de nouvau sur Jessica... Entendre ses pensées me donna une soudaine envie de protéger la fille contre ses actions malveillante à son égard. Pourquoi?... Pour préserver le plus faible du plus fort?...
Je la regarda une nouvelle fois.
Elle paraîssait si fragile... Mais toujours rien. Rien ne me parvenait..

S'était incroyablement frustrant!

Je vit qu'elle n'aimait pas beaucoup être à ce point au centre de tout, que cela était une torture pour elle mais je ne le vis que par son regard. Je ne pouvais que voir, imaginer ou essayer de comprendre ce qu'elle pensait mais pas vraiment le savoir.
Je me levais, soulager de constater que mon cours de biologie allait commencer. Je ne voulais pas m'interesser à elle d'avantage.
Je posa ma main sur l'épaule d'Alice et, lisant ainsi ses pensées qui me voyaient heureux avec Bella Swan et amoureux, dut fermer les yeux avant de lui faire part de ma torture en les rouvrant.
Elle n'avait peut être pas eu le temps de le remarquer car je me dirigeais rapidement vers la salle de classe et entra m'asseoir à ma paillasse... MA paillasse car personne ne vennait jamais à mes côtés...

Et je retomba dans mes reflexions monotone, essayant d'oublier pourquoi cette fille m'était illisible...

(Whoua, franchement ton post est...comment dire ? Fanstastique ^^)

Après avoir détourné les yeux en croisant celui de cette jeune femme à la peau blanche et aux allures de lutin j'avais croisé celui d'un des garçon de leur table, et le plus beau sûrement, mais j'avais aussi automatiquement détourner les yeux. Jessica entrepris de m'expliquer qui ils étaient, les enfants du docteur Carlisle et d'Esmée Cullen. Elle m'expliqua que c'était des enfants adoptés car la femme du médecin de ne pouvait en avoir, les deux enfants blonds était des jumeaux Rosalie et Jasper Hale puis il y avait les autres, d'abord Emmett le plus grand et le plus baraqué, puis la plus petite des femmes Alice, celle dont j'avais croisé le regard, et enfin sûrement le plus jeune des enfants Edward, ce garçons au regard noir et cheveux cuivré. Elle m'expliqua qu'ils ne se mélangeaient jamais aux autres, qu'ils restaient entre eux. Je ne comprenais pas vraiment pourquoi, car tant de beauté ne pouvait qu'attirer les gens vers eux. Pour le peux que je l'ai avaient observé ils n'avaient aucun trais commun et pourtant ils avaient une ressemblance frappante, ils étaient d'un pâleur de craies, plus clairs que toute les personnes habitants dans cette ville sans soleil et humide, plus clair que moi, albinos. Ils avaient tous les cinq les yeux de couleur très sombre et des cernes d'un mauve prononcé apparaissait sous leurs yeux. Ils étaient d'une beauté dévastatrice et presque inhumaine. En jetant un nouveau coup d'oeil vers leur table je vis qu'ils n'étaient plus que quatre, c'était le plus d'entre eux, le garçon au cheveux de couleur bronze qui avait quitté la table, puis au même moment la femme aux airs de lutin se leva et se dirigea vers la porte de la cafétéria, je restait bouche bée devant elle, sa démarche était tellement gracieuse on aurait même cru qu'elle dansait. Puis elle sortir à son tour de la pièce. Les trois autres n'avaient pas bougés ne remarquant même pas que deux de leur confrère avait quitté la table, leur plateau étaient intacte, ils ne parlaient même pas entre eux. Puis la sonnerie du lycée me fit sortir de mes pensées.
Je me retourna vivement, pris mon plateau que je n'avais quasiment pas touché, le vida, puis sortit du réfectoire en direction de mon nouveau cour. Une des amis de Jessica dont je ne me souvenais plus le prénom m'accompagna à mon nouveau cour, elle me rappela gentiment son nom et pendant le trajet elle n'eut pas besoin de parlé comme l'avait fait Jessica. Je sus alors que nous allions bien nous entendre. Une fois à l'intérieure du bâtiment nous nous dirigeâmes vers la salle de biologie. En entrant Angela finit par aller s'asseoir à une palliasse qui lui était sûrement déjà attitré. Mon regard balaya la classe et il s'arrêta sur Edward Cullen, j'étais fasciné par tant de beauté. Un ventilateur qui ce trouvait près de moi ébouriffa mes cheveux et je vis Edward ce redire et le regard qu'il avait pour moi devint très noir, ces yeux exprimaient colère et hostilité. J'en fut choqué et détourna rapidement le regard sur M. Banner, à qui je tendis ma feuille de présence un peu maladroitement. Une fois ma feuille paraphé, il me fit signe de m'installer à la seul place libre qui s'avérait être celle à côté d'Edward. Je me dirigeais vers ma place quand je trébuchai sur un livre et réussis à me rattrapé à la paillasse, j'entendis la propriétaire du fameux livre pouffé et je poussais un soupir en essayant de gagné ma place. Une fois à celle ci, je remarquai que le tabouret de mon voisin était poussé jusqu'à l'extrémité de la paillasse, comme si il essayait de fuir une mauvraise odeur. En douce je reniflai mes cheveux, ils sentaient la fraise, le parfum de mon shampooing préféré. Un arrôme plutot innocent. Il me toisais avec colère, en croisant son regard je le soutins quelques seconde ne comprenant pas pourquoi il avait tant de colère envers moi, puis je finis par posé mon regard sur le professeur que commençais son cour.

( Merci beaucoup ^^ t'écris bien aussi, j'aime bien ton style, mais tu devrais te relire à certains endroits sans vouloir t'embêter )

La pièce se remplissait petit à petit et le temps me parraissait toujours aussi long et insignifiant.

C'était dans ces moments là que dormir me semblait être une des choses qui me manquait le plus...

Je me balançais sur ma chaise et m'amusais de voir qu'aucun élève venait prendre place à l'unique tabouret libre qui se trouvait à mes côtés. M'amusais... Façon de parler... Disons que s'était beau de voir que, malgrès leur contemplation sur nous, les humains gardaient un certain instinct de survie.
A ce moment la, Angela entra avec elle.
*Bella a l'air aussi timide que moi... j'aimerais pouvoir lui dire quelque chose... mais je vais avoir l'air stupide...*
Telle était les pensées d'Angela... Je regarda la fille Swan.

(...)

Toujours rien. Le vide qui occupait l'endroit où ses pensées auraient dut être m'irritait au plus au point. J'avais essayé de passer et penser à autre chose mais il a fallut qu'elle soit au même cours que moi.

*Pourquoi rien?*

Elle régla certain point avec le professeur tandis que je la regardais toujours.

*La pauvre: il n'y a qu'une seule place libre, MA paillasse.*

Peut être était ce la seule manière de lui soutirer des secrets? Non pas que je voulais en savoir plus sur elle... Mais comme je ne pouvais pas la lire, je devais bien faire quelque chose pour savoir où elle en était.
Afin de lui épargner ma présence, puisqu'elle allait certainement devoir rester dans ce cours pendant quelque temps maintenant, je décida d'empiler plusieurs de mes livres les uns sur les autres et ainsi délimiter sa partie de la paillasse. Si cette distance ne lui plait pas: tant pis pour elle!

C'est alors qu'elle passa devant un ventilateur, me balançant son odeur en plein visage. Je fus comme tétanisé, fusillé sur place.
Son odeur glissa dans mes narines et vint me brûler la gorge dans son voyage tortueux. Je perdis toute humanité, ne me considérais plus comme un vampire tentant de se fondre chez les humains, ni même comme un vampire: j'étais un monstre, une bête avide de sang, de son sang.
J'étais le prédateur, elle la proie, ma proie.
Il y avait beau avoir des élèves autour de moi, ils ne signifiaient plus rien, ils ne survivraient pas.
Elle avait beau bloquer mon pouvoir d'une manière que je ne pouvais expliquer, cela m'était égale.

Dans un instant, elle ne penserait plus.

J'étais un vampire, et elle avait le sang le plus parfumé que j'avais jamais senti en quatre-vingts ans. Comment avait elle pu faire revenir la bête sauvage que j'étais et que j'avais dissimulé depuis presque ma nouvelle naissance en l'espace de 5 petites secondes?
Je me reteins au bois de la paillasse pour me retenir de faire ce meurtre... Ce massacre... Car si je la touchais, les autres seraient mort avant elle...
Ma main s'aggrippa tellement fort que je détruisis le bois laissant une écharde et une empreinte de ma main dans la table. Je me repris quelques secondes pour égaliser le trou avant de croiser le regard de la future morte à nouveau... Car c'est ce qu'il allait se passer: elle allait s'asseoir à côté de moi et je devais la tuer...

Lorsque le moment tant attendu arriva, je retint ma respiration afin de ne pas respirer son odeur une enième fois mais ne pouvait m'empêcher de la fixer avec une folle envie meurtrière.

*Profite de tes derniers instants...*

[Merci, oui désoler je ferais plus attention ^^)

Je ne comprenais pas pourquoi il réagissait comme ça. Pourquoi autant de haine dans son regard, pourquoi cette colère ? Ce n'étais même plus de la colère à vrais dire, c'était de la férocité. Après avoir soutint son regard noir quelques secondes, je baissais la tête et sortit mon cahier de mon sac, quand je finis par posé ce dernier sur la paillasse je remarquai la pille de livre qui appartenais sûrement à Edward posé au milieu de la table. Étais ce une façon de me montré qu'elle était mon territoire et le sien ? Et Territoire que je n'oserais sûrement pas franchir, même si il avait mit ces livres ou pas. Je me cachais derrière la tenture de mes cheveux car je sentais son regard persistant sur moi. Malheureusement je ne réussis pas à me concentré sur le cour pour essayé de l'oublier, le cour portait sur l'anatomie cellulaire, un sujet que j'avais déjà étudier et que je connaissais sur le bout des doigts. Malgré mon manque de concentration et le fait que je connaissais très bien cet leçon je pris soigneusement des notes le nez coller à mon cahier. Je n'osais plus bougé et je n'envisageais même pas de relever la tête. Mais malgré moi je revenais sans cesse à mon étrange partenaire de labo. Pendant toute la durée du cour il ne se détendit pas ni se rapprocha. Je sentais toujours son regard sur moi, et présentait que la teneur n'en avait pas changé. Mes yeux ce posèrent quelques instants sur sa main gauche qui formait un poing, il serrait tellement la main que je pouvais apercevoir ces tendons ce dessiné sur sa peau d'albâtre. Je remarquai néanmoins qu'il était assez musclé, loin de son frère Emmett il paraissait plus imposant. Je me ravisais de continué mon examen car je présentais qu'il avait remarqué que je l'observais.
Le cour semblait s'éterniser. Est ce parce que la journée touchait à sa fin ? Ou parce que j'attendais que ce poing ce relaxe ? Ce qui ne se produit pas bien sur. Il en broncha pas, on aurait dit qu'il ne respirait pas. Je n'avais détecté aucun geste, aucun battement de cil. A croire qu'il était figé. Mais figé sur moi. Ce comportement était il habituel chez lui ? Si c'était le cas je comprenais maintenant pourquoi personne n'osait s'aventurer à venir vers lui. Je réussis à me convaincre tant bien que mal que cela n'avais rien à voir avec moi. Il ne me connaissait ni d'Eve ni d'Adam. Je me risquait à jeter un nouveau coup d'oeil sur lui pour vérifier ma théorie. Mais je le regrettait aussi tôt. Ces yeux noir étaient vriller sur moi, son regard n'avait pas changé, toujours aussi remplit de colère et d'amertume. Je tressaillis, la phrase "si les regards pouvaient tués" me traversa l'esprit. Mais en l'observant quelques instants j'avais l'impression qu'il essayait de ce convaincre de quelque chose. Mais je n'aurais su dire quoi. Je finis par retourné à la contemplation de mon cacher en me tassant sur mon tabouret. J'espérais que l'heur de cour ce finisse, que j'échappe à son regard si méprisant.
Je sursautais quand la sonnerie retentit, Edward réagis comme un ressort, il se leva avec souplesse. Me tourna le dos il sortit de la classe avec une grâce infinis. Il était plus grand que je ne l'aurais cru. Je restait figée sur place, le suivant des yeux. Son attitude avait été odieuse. Injuste. Je ne lui avait rien fais, je ne le connaissait pas et il ne me connaissait pas. Mais alors pourquoi tant de haine ? Je finis par rassemblé doucement mes affaires et les rangés dans mon sac. J'essayais de contrôler ma colère par peur d'éclater en sanglot. Bizarrement mon canal lacrymal était relié à mes humeurs.
Quelques instants plus tard un jeune homme s'approcha timidement de moi, un garçon au cheveux blonds soigneusement gominés en pointes ordonnées. Il me souriait chaleureusement. De toute évidence lui ne trouvait pas que je puais.

Une bonne demi heure passa sans que je puisse calmer mes envies de massacre. Elle était si près de moi que je pouvais sentir son coeur battre rapidement contre sa poitrine, son sang affluait dans ses veines si voyantes et bleues sur sa peau translucide. C'en était insupportable tant je désirais sentir son sang couler dans ma gorge, je voulais la voir morte dans mes bras. Et la enfin je serais calmé. Je ne pouvais fermer les yeux et remarqua chaque regard qu'elle posa sur moi en pouvant déchiffrer ses sentiments.
Elle avait peur certainement, mais il y avait autre chose...
Elle se posait des questions. Je la vit renifler ses cheveux et imita son geste.

Erreur!

Son odeur rentra à nouveau dans mes poumons, me faisant porter ma main à ma bouche. Je n'en pouvais déjà plus alors que le cours ne venait finalement que de commencer... Alors, je commença à me faire des scénarios.
Comment allais-je procéder? Je pouvais très bien tous les tuer les uns après les autres. Le temps que je m'occupe de la ranger de droite, la rangée de gauche n'aura rien remarquer avant que je ne les tue à leur tour et elle sera la dernière...
Ou alors, je peux les enfermer. Les fenêtres sont de toutes façons trop hautes pour les laisser sortir tous. Il suffit de bloquer la lourde porte d'entrée pour que je les attrape tous...

Alors que je continuais dans mes fantasmes, un visage m'apparut: Carlisle. Mon père adoptif. Qu'allait il dire si je tue une humaine? Qui plus est la fille du Shérif?... Ils étaient amis tous les deux. Comment allait il pouvoir expliquer à Charlie Swan que sa fille unique était morte?... Il allait être déçu de mon comportement. Non! Je ne pouvais pas me résoudre à un tel massacre! J'avais tenu une heure maintenant, je pouvais bien en tenir une de plus!

*Carlisle* pensais je.

(...)

Lorsque les deux heures furent passé je bondit de mon siège pour aller me réfugier dans ma voiture et je mis un CD, volume maximum pour m'occuper l'esprit. Malgrès cela, je pouvais toujours voir chaque détails de la jeune fille...

Pourquoi Alice n'était pas là quand on avait besoin d'elle?...

Après qu'Edward est bondit de sa chaise pour sortir du cour, je rangeais doucement mes affaires dans mon sac. J'étais en colère, je ne comprenais pas le comportement d'Edward. Comment avait il pu me traiter comme cela. Je ne lui avait rien à la fin. Je n'avais jamais vu autant de haine dans le regard de quelqu'un, qui plus est ce regard m'était destiné. J'avais voulu me fondre dans la masse aujourd'hui, que personne ne me remarque, hors c'était complètement raté. Déjà j'étais attendu comme le Messie dans ce petit lycée et je m'étais attiré les foudres du bellâtre d'Edward. Mais qu'avais je bien pu faire pour mérité sa. Tout en rangeant mes affaires je vis ce garçon s'approcher de moi timidement. Un sourire chaleureux aux lèvres, ce qui me réconforta un peu.

"C'est toi Isabella Swan ?" me demanda t'il tout sourire.

"Bella", le rectifiais je d'une voix aimable.

"Je m'appelle Mike."

"Salut, Mike."

"Tu as besoin d'aide pour trouver ton cours d'après ?"

"Je crois que je me débrouillerais. J'ai gym."

"Moi aussi."S'exclama t'il visiblement ravie.

J'avais oublié que j'avais gym, ce qui m'arracha une grimace. Déjà que j'étais maladroite et que je ne tenais pas très bien sur mes deux jambes, la gym n'allait rien n'arranger. J'avais le don de tombé sans cesse et de me blesser facilement, sans parlé des blessures que j'infligeais à mes partenaires. Mike avec sa bonne grâce infini m'accompagna jusqu'à la salle de sport. C'était un bavard, il alimenta la conversation, je n'aimais pas besoins de beaucoup parlé. J'appris qu'il avait vécu en Californie jusqu'à l'âge de 10 ans, il comprenait très bien mes réticences envers le climat local. Il me révéla que nous partagions le même cour d'Anglais. Ce qui le réjouissais apparemment, je ne comprenais pas vraiment pourquoi mais bon. Ce fut la personne la plus agréable que je rencontrais aujourd'hui, enfin jusqu'à ce qu'il me parle d'Edward.

"Alors, tu as planté ton crayon dans la main d'Edward Cullen, ou quoi ? Je ne l'ai jamais vu dans un tel état."

Je chancelais, je n'étais donc pas la seul à avoir remarqué son comportement très étrange avec moi. Donc je ne m'étais pas fais des idées, il en avait vraiment après moi. Ce n'étais pas un comportement qu'il avait tous les jours. Je fis mine de joué les gourdes et de ne pas savoir vraiment de qui il parlait.

"Tu veux dire le garçon à côté du quel j'étais assise en cour de Biologie ?"

"Oui. J'ai cru qu'il avait une rage de dent !" J'avalais difficilement ma salive suite à ces aveux.

"Je ne sais pas. Je ne lui est pas adressé la parole." Pour le coup mes paroles furent vrais.

"Il est zarbi."Décréta Mike en s'attardant auprès de moi au lieu de gagné les vestiaires. " Moi, si j'avais eu la chance de partager une paillasse avec toi, je t'aurais parlé."

Je lui adressais un faible sourire, ne sachant pas vraiment quoi répondre à sa. Puis Mike finit par se diriger vers les vestiaires et le prof de gym me dégota une tenue mais m'autorisa à ne pas participer à la première séance. Déjà sa de moins. J'assistais à 4 matchs de volley simultanément, je pensais à la discutions que j'avais eu avec Mike. Le fais de ne pas savoir ce qu'Edward avait contre moi m'énervais au plus au point, et me déstabilisait aussi à vrais dire. La sonnerie finis par enfin retentir. La fin de la journée enfin, j'allais pouvoir rentré chez Charlie. Je sortit du bâtiment ou ce trouvait la salle de sport pour pouvoir allé jusqu'au secrétariat ou je devais remettre ma fiche de présence. Dehors le temps avait changé, il commençait à pleuvoir. J'enroulais mes bras autour de moi quand une bourrasque m'ébouriffa les cheveux. J'avais vraiment très froid. Quand j'entrais dans le secrétariat je faillis tourner les talons et m'enfuir.
Edward Cullen ce tenait devant le comptoir. Je le reconnu tout de suite à la couleur de ces cheveux peu commune mais tellement extraordinaire. Heureusement pour moi il n'eut pas l'air de remarqué ma présence. Je m'adossa au mur du fond et attendis qu'il est terminé. Il discutait avec la secrétaire d'une voix basse et séduisante, j'en eu des frissons. En me concentrant je réussis à saisir l'objet de sa présence. Il essayait de déplacé son cours de biologie, et apparemment n'importe quel horaire ferait l'affaire. Je n'arrivais pas à croire que c'était à cause de moi, il devait sûrement y avoir autre chose non ? C'était impossible qu'un inconnu éprouve un réelle dégoût aussi intense à mon égard. Un courant d'air envahit la pièce, agitant les piles de papiers sur le bureau et ébouriffant mes cheveux au passage. Edward ce raidit, il se retourna légèrement vers moi et me toisa avec fureur, mais il en était encore plus beau. Autant de beauté était absurde. Ce regard ne dura qu'une seconde mais une bouffée de terreur pure s'empara de moi. L'Apollon s'adressa de nouveau à la secrétaire.

[Bon, quelques parties du dialogue sont repris d'une traduction de Midnight Sun ^^]

Une fois que je fus "calmé", je sortis de la voiture bien qu'une certaine frustration m'envahissait toujours autant. J'étais parfaitement irrité de cette influence qu'elle avait sur moi. Une simple humaine! Qui ne cessait de poser ses grands yeux chocolat sur moi et de remuer sa chevelure devant mon visage. Cette pensée me fit tressaillir et je me raidis à nouveau. Je devais me concentrer sur le visage de mon père...

*Ne pas le décevoir... Trouver une solution*

Biensur! Elle était tellement simple celle là que je n'y avais même pas songée avant: j'allais quitter le cours de Biologie, comme ça je ne la verrais... Sentirais était le mot le plus adapté... Je ne la sentirais plus. Je détestais l'idée de devoir fuir devant une humaine si faible mais là était la solution pour que je reste le vampire que Carlisle voulait que je sois et avait fait de moi. Et elle restait aussi la meilleure solution.

Je partis en direction du secrétariat. Personne. A part la personne que je voulait voir: La secrétaire à la chevelure rouge artificielle qui ne leva pas la tête à mon arrivée.

"Mme Cope?" demandais je d'une voix polie, la faisant tout de même sursauter.
"Oh" souffla t elle en tirant nerveusement sur son tshirt, l'air déstabilisé- *Stupide, pensa-t-elle. Il a quasiment l'âge d'être mon fils. Trop jeune pour penser à lui comme ça...* "Bonjour, Edward. Que puis-je faire pour toi ? "

Elle était mal à l'aise. Mais je savais rester gentlemen quand je le voulais. Je me pencha sur elle et scruta ses yeux comme si j'allais me noyer en eux. A cet instant, je su que j'allais gagner: ses pensées se troublaient déjà.

"Je venais vous voir pour que vous m'aidiez en ce qui concerne mon emploi du temps" dis je sensuellement, la troublant d'avantage.

Ce que les humains étaient manipulable...

"Bien sûr, Edward, comment puis-je t'aider ?" *Trop jeune, trop jeune* se répétait-elle.

Trop jeune? J'avais l'âge d'être son grand père.

"Je me demandais s'il était possible d'échanger mon cours de Biologie avec une matière de niveau terminale. Peut-être la physique ?"
"As-tu un problème avec M. Banner, Edward?"
"Pas le moins du Monde, c'est juste que j'ai déjà étudié ce qu'on fait en ce moment, alors..."
"Dans cette école avancée dans laquelle tu étais en Alaska, c'est bien ça ? " *Ils devraient tous être à l'université. J'ai entendu les professeurs se plaindre. Parfaits en tous points, jamais une réponse hésitante, jamais une faute aux contrôles – comme s'ils avaient trouvé un moyen de tricher dans toutes les matières. M. Varner préférerait croire qu'on triche plutôt que d'admettre qu'un élève est plus intelligent que lui... Je parie que leur mère leur paye des cours particuliers...* "En fait, Edward, la classe de physique est pleine. M. Banner n'aime pas avoir plus de vingt-cinq élèves en même temps."
"Je ne dérangerai personne."
"Je le sais, Edward, mais il n'y aura pas assez de sièges et..."
"Je pourrais peut-être laisser tomber cette matière, alors. J'utiliserai ce temps libre pour étudier seul."
"Laisser tomber la biologie ? " Elle resta bouche bée. *C'est n'importe quoi. Quel problème pourrait-il avoir à étudier un sujet qu'il connaît déjà ? Il doit y avoir un problème avec M. Banner. Je devrais peut-être en parler à Bob...* " Tu n'auras pas assez de points pour obtenir ton diplôme. "
"Je rattraperai l'année prochaine."
"Tu devrais peut-être en parler à tes parents."

A cet instant, j'entendis la porte s'ouvrir. Les pensées de cette personne ne se focalisant pas sur moi, je ne prit pas la peine d'y faire attention et continua mon numéro.

"N'y a-t-il vraiment aucune autre matière avec laquelle je pourrais échanger? Il doit bien y avoir un autre horaire disponible? Six heures de biologie n'est sûrement pas la seule option..." repris je d'une voix encore plus sensuelle.
"Eh bien, peut-être pourrai-je parler à Bob – je veux dire M. Banner. Je verrai si – "

Je ne put entendre la suite de sa proposition. Le vent me joua son tour à nouveau et engouffra l'excellente odeur, que je m'étais promis de ne plus jamais umer, dans mon corps dans son intégralité. Ma gorge me brûla intensément à nouveau et je dus cramponner le bureau pour ne pas me jeter sur la secrétaire et en finir avec la nouvelle arrivée. Je compris alors pourquoi je n'avais pas entendu de pensées autre que celles de la secrétaire: tout simplement parceque Bella Swan venait d'entrer dans la pièce. Malgrès tout, je pivota lentement pour vérifier mes dires. Elle était bien là, innocemment adossé au mur près de la porte et la douleur devint plus intense encore lorsque je vis la peur que je lui inspirais... La peur? Je n'en étais pas sur, et de toute manière, j'étais trop perturbé pour identifier ses sentiments maintenant.
Je me retourna vers la secrétaire et me contrôla une ultime fois, reprenant une voix douce et égale.

"Très bien. Il faut parfois souffrir" dis je dans un feulement en quittant rapidement la salle, croisant Bella Swan.

Je décidais de ne pas m'arrêté avant d'avoir atteint ma Volvo. Lorsque j'arrivais, les autres étaient déjà tous la et m'attendais. J'entrais dans ma voiture, halétant et n'arrivais pas à me calmer...

Qu'est ce que je devais faire?

[ne t'inquiète pas pour ca moi je reprend aussi quelques répliques de Fascination ^^]

Après s'être retourné sur moi Edward se retourna faisant de nouveau face à cette secrétaire aux cheveux rouges flamboyant. Quelques instants plus tard il quittait la pièce avec des paroles assassine qui je pus distinctement entendre puisque qu'il les avaient prononcé en partant. "Il faut parfois souffrir." Voila qu'elle avait été ces paroles. Mon sang c'était glacé et je n'osais même pas le regardé quand il passa à côté de moi. Après quelques instants je m'approchais maladroitement du comptoir pour rendre ma fiche à la secrétaire. Je lui tendis le bout de papier fébrilement. Je devinais que pour une fois je n'avais rougi, mais au contraire, blêmi.

- " Comment s'est passé ta première journée, petite ?" me demanda telle sur un ton maternelle.

- " Très bien" mentis-je.

Mal, car elle n'avait pas l'air très convaincu. Je ressortit du secrétariat en chancelant presque. J'essayais d'oublier Edward mais n'y arrivait pas. Mais qu'avais-je bien pu faire ? Je venais seulement d'arriver et il se comportait très mal avec moi alors que je ne le connaissait pas. Et personne ne me connaissait ici, enfin il me connaissait étant la fille du shérif mais rien de plus. C'était impossible qu'il est entendu quelque chose de négatif à mon sujet et même si cela avait été le cas il n'avait aucune raison de ce comporté comme ca avec moi. Quand je sortis enfin du bâtiment je remarquai que ma Chevrolet était quasiment le dernier véhicule présent sur le parking. Elle me fit l'effet d'un refuge, du lieu qui, déjà, évoquait pour moi le plus un foyer, dans ce trou perdu vert et humide. Une fois à l'intérieur je restais assise un moment à observé le pare-brise avec des yeux vides. Je ne tardais pas néanmoins à avoir assez voir pour brancher le chauffage. Et je mis le contact, le moteur rugit. Je rentrai doucement chez Charlie, luttant tout le chemin contre les larmes.

[Désolé d'avoir mis du temps à répondre j'avais des problèmes avec Internet et mon message ne voulait pas partir]

Après avoir assouvi ma soif, je retournais en cours. Je sortis de la voiture d'Emmett qui parti vers Rosalie qui l’attendait de son côté. Je me dirigeais donc seule vers l’entrée et me décida d’aller directement en cours. Je commençais mon après-midi avec 2h de mathématiques. Passionnant ! Surtout en sachant ce que l’on allait faire ! La trigonométrie.

Bon quand il faut y aller, faut y aller !!! Je rentrais dans la salle et partais m’installer dans le fond de la classe et sortais mes affaires. Les discussions allaient bon train dans la salle et un capharnaüm s’était installé. Le professeur rentra dans la salle et claqua ses deux mains dodues l’une contre l’autre pour avoir un semblant de silence. Il commençait son cours et moi je commençais ma rêverie. Le temps passerait plus vite.

Le temps de demain et de la semaine à venir venait à mon esprit : pas de soleil seulement du froid ! Magnifique !
Rosalie allait se fâcher ce soir, ça se sentait ! Emmett essayerait de la calmer mais hélas ça ne marchera pas avant une bonne heure passé à la raisonnée.
Et c’est là que je la vis elle, cette fille Bella qui déstabilisait mon frère. Il ne pouvait plus supporter cette terrible odeur qu’elle dégageait et était prêt à commettre un crime devant ses camarades. Puis ma vision changea et je failli pousser un cri quand je vis Edward tués un à un les élèves de sa classe puis de s’attaquer à Isabella. Cette image morbide s’effaça pour laisser place à une autre, Edward fermant la porte et s’attaquant à tous puis buvant le sang de sa voisine. Instinctivement j’ouvris les yeux et sortie très rapidement de la salle au moment où la sonnerie retentissait. Je devais voir ce qui c’était passé. Edward l’avait t’il fait où était juste décidé à le faire ? Je me posais des questions mais ne trouvais rien, ni les réponses ni mon frère. Où pouvait-il bien être ? Ma vision ne me permettait pas de le voir, ce que je trouva étrange mais que je ne chercha pas à résoudre. Je chercha un peu, mais ne trouvant pas je décida d’aller dehors pour respirer…enfin respirer est un bien grand mot, renifler est plus approprié, pour renifler l’air de dehors. J’y trouvais une certaine satisfaction en sentant l’odeur des humains car je me forçais de ne pas les mordre. Je regardais autour de moi quand je crus voir Edward assis dans sa voiture mais la seconde d'après personne n’était dans la Volvo. Je crus alors à mon imagination et comme la sonnerie retentissait, je me précipita vers ma salle d’Anglais.

L’après-midi passa lentement et j’avais énormément de mal à suivre mes cours en pensant à mes visions. La dernière minute de cours me parut comme une des plus longues de ma vie. J’avais hâte de retrouver Edward sur le parking et de lui demander ce qui c’était passé bien que je n’avais pas eu d’autres visions pouvant me confirmer qu’il avait lâché sous ses envies. Je me précipita donc sur le parking quand la cloche m’indiqua que les cours étaient finis et je rejoins ma famille près de nos voitures. Rosalie, Emmett, Jasper mais aucune trace d’Edward. Où pouvait-il être ? Je le vis arriver vers nous puis s’engouffrer dans sa voiture un air bizarre sur le visage. Je décidais donc de monter dans sa voiture pour pouvoir parler avec lui. Je tapa sur la vitre en espérant qu’il me laisserait entré bien que je sache à 99% qu’il ne le ferait pas.

Son odeur ne cessait de revenir dans mes narines et son regard était comme incrusté dans ma tête. J'avais tenu jusque là mais je ne savais pas si j'allais pouvoir le faire bien longtemps... Je devais partir quelque part, chasser pendant de longues semaines et qui sait peut être ne pas revenir au lycée de Forks. Je ne pouvais pas décevoir Carlisle mais s'était plus fort que moi...

Si j'avais sut qu'une telle odeur existait je me serais mis à sa recherche tant je la désirais morte à pied et mélanger son sang au mien.

Malgrès mon pouvoir, je ne pus pas percevoir Alice qui venait de frapper au carreaux de ma Volvo, me faisant sursauter.

Elle m'obscédait donc à ce point?!

Alice me fit un signe. Elle voulait entrer. Mais je put voir ses pensées qui me ramenèrent au cours de biologie, lorsque je prévoyais de massacrer tout le monde pour garder le meilleur pour la fin et cela me suffit.
J'alluma à nouveau mon poste, mis la musique au plus haut volume et enfonça les clés pour démarrer et partir!
Je ne voulais pas du tout revivre ce moment mais il était déjà trop tard. Ma "soeur" venait de me le montrer. Me montrer à quel point je la désirais à ce moment précis. Et alors, je pensa qu'Alice avait été idiote d'avoir eut une vision d'un couple heureux entre moi et cette... Fille...
Je vis Alice presser la portière pour entrer lorsque je mis le contact mais elle savait que si il arrivait quelque chose à ma voiture, elle allait s'attirer mes foudres. Déjà que je n'étais pas d'humeur!
Je lui lança un regard sombre, la faisant lacher prise, et partit.

Je roulais... Roulais... Loin de Forks... Loin de ma famille... Et surtout, loin de Isabella Swan!

Alors que j'appuyais sur la portière pour essayer de rentrer dans la voiture, Edward mis le contact et parti comme une furie! *OH! Il allait m'entendre celui là!* Je regardais sa voiture partir, mais où allait-il ce n'était pas le chemin de la maison?!

Une vision me frappa et je vis mon frère dans les montagnes loin d'ici, en train de chasser, de se nourrir pour oublier quelque chose, quoi, je ne savais pas mais ça avait l'air de le perturber. *C'était donc ça? Il partait? Et bien qu'il parte ça nous fera des vacances.*

Je sentit une main douce me serrer la mienne et c'est là que je me rendis compte que j'étais accroupie par terre au milieu du parking du lycée, les poings serrés contre moi et le regard dirigé vers l'endroit où Edward était parti quelque minutes plus tard. Je remarqua aussi qu'il n'y avait plus que nous et une Chevrolet sur le parking. Je suivais donc Jasper qui me tenait fort contre lui et montait dans la voiture. Nous partions à la maison et pendant tout le trajet je me rappela cette journée pas comme les autres et qui allait surement changer nos vies à tous, à ma famille et à celle de cette Isabella Swan, je le savais et c'était clair comme de l'eau de roche.

[Qu'est-ce-que j'écris mal par rapport à vous!]

» Un petit bug ?
» Alice Cullen petit lutin! ^^